Un jour de printemps, près de l'abbaye de Saint Antoine, une orde de chevalier noir tua un homme. Cet homme, en habit de pélerin, avait un bâton et une besace à première vue mais un des chevaliers, le chef, pris une bague en or au cou du cadavre. Jean qui chasser dans la forêt, ou plutôt brigander en ces temps dur, vit cette scène horrible. Il se cacha pour ne pas être découvert par ces tueurs. A la nuit tombée, il sortit de sa cachette et alla prêt du pélerin "Mort, le pauvre, il n'avait aucune chance" dit-il. Il décida de déposer l'homme aux portes de l'abbaye , où il pourrait avoir des soins propre à sa religion. C'est alors que le lendemain, les moines qui préparaient la fête de Saint Antoine découvrirent le corps, ils appelèrent le Pére supérieur, celui-ci âgé mais fort sage arriva . Surpris de cette découverte, il ne dit mot tout de suite:
"Prévenez le Comte de Louailes, dites-lui de venir rapidement! Un meurtre a eu lieu.
Nous devons le rentrer, les premiers habitants et pélerins vont arriver pour la fête, ce n'est pas bon pour l'abbaye de le voir ici."
La sagesse et la méthodicité du moine n'avait pas failli à sa réputation, il avait su gérer la crise avec éfficacité. Quelques heures plus tard, le Comte arriva à moitié rasé et habillé, il descendit de son cheval à toute vitesse et alla voir le supérieur. Ils examinérent le corps et conclurent qu'une dague avait donné la mot à ce malheureux, mais une chose était gravée sur son dos " A jamais et de tout temps, je serai fidéle". Les deux hommes se regardérent, que signifiez cette devise étrange? Fidéle? Mais à qui? Un des moines de l'abbaye découvra sur le défunt une missive que les ravisseurs n'avait pas vu. Celle-ci demandée que le meilleur ami du Comte de Louailles soit averti de la naissance de son héritier unique prétendant à la couronne royale, le Dauphin Philippe de Lexun. Une question se posait désormais. Pourqui vouloir empêcher la diffusion de cette information? Pour le pouvoir? Mais comment? La naissance de Philippe était attendu bin sur à cause de la maladie du Roi, peut-être la régence était la motivation de ces tueurs. Cela voudrait dire que le marquis de Lexun était en danger de mort. Monsieur de Louailles appela cinq de ses hommes pour le prévenir et le protéger de cette menace. Bien plus tard dans la journée, un homme nommait Jean se présenta et raconta ce qu'il avait vu. La bague en or qui fut voler, le meurtre, sa cachette et le corps. Le pére supérieur comprenait de mieux en mieux l'hstoire, ce n'était pas le Roi qui était visé mais bien autre chose. Une alliance entre les Louailles et les Lexun devait se réaliser avec la naissance de Philippe, c'est à dire l'alliance des deux plus grandes familles du Royaumes de France, le Dauphin aurait beaucoup de pouvoirs et plus encore en devenant Roi . Or on le savait, la famille la plus perfide du Royaume, ennemi juré des Lexun voulait le pouvoir. Donc dans un souci de puissance, il ordonna le meurtre du messager et le meurtre de l'enfant dés son retour en ses Terres de Marquis. Mais par une simple coïncidence, le Duc perfide était présent à l'abbaye pour le fête, il était accompagné de chevalier en noir. Le pére demanda à Jean s'il les avait déjà vu et celui-ci répondit que oui. Le Moine convoqua le Comte de Louailles, Marréchal de ses Terres, pour procéder à l'arrestation de ce félon. Ainsi tout le monde à l'abbaye, suite à la résolution de l'affaire, reprirent les préparations de la fête en l'honneur de Saint Antoine.
FIN